Michel Narbonne a étudié à l’Université Denis Diderot à Paris (« Sciences des textes et documents ») et à l’EHESS (« Symbolique de l’art pariétal ») ; la méthodologie en poche, le reste sera du ressort de « l’aventure de l’esprit autodidacte ». Michel Narbonne, en fait, ne sait entreprendre les choses qu’avec passion et délices. Enseignant dans le Supérieur, il initie les futurs cadres internationaux à l’infinie diversité des cultures ou à la liberté créative de l’art contemporain (ce travail a donné lieu à la publication de deux ouvrages de synthèse et de mises en perspective : cours d’histoire des religions, spiritualités et philosophies, cours d’histoire des arts, parus aux éditions Hatier en 2007). -Créateur lui-même, il se donne la liberté de pratiquer de multiples genres littéraires, tous les styles et matériaux recyclés pour sa sculpture, sa mosaïque ou son collage (on peut lire ses textes sur michelnarbonne.com et découvrir ses œuvres sur archéo-surréalisme.com). -Cette créativité, il l’exerce enfin dans cet immense paradigme nommé « écologie politique », à la façon d’un Edgar Morin, qui y voit tout à la fois la grande invention de la pensée politique, scientifique et philosophique contemporaine, mais ô combien difficile à appréhender, car cherchant à évaluer la complexité et la durabilité alors qu’elle est le plus souvent vécue dans l’urgence